Comité de quartier de Bomel Namur | Nos actions
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Nos actions

Les actions du comité de quartier… d’hier à… demain

Actif depuis 1999, le Comité de Quartier de Bomel a réalisé de nombreuses actions. Dresser l’inventaire complet des résultats n’est évidemment pas possible ici, mais on peut s’en approcher. C’est le but des pages qui suivent. Pour cela, partons des dix grands « chantiers » retenus par le Comité. Pour chacun d’eux, voyons les objectifs qu’il s’est fixé au fil du temps et en regard les résultats atteints actuellement.

Propreté

  • Un quartier propre

Mobilité

  • Un quartier relié au centre-ville
  • Un trafic automobile maîtrisé
  • Des cheminements piétons confortables
  • Des itinéraires propices aux vélos

Cohésion sociale

  • Des relations sociales de bon voisinage

Environnement

  • Un réseau d’espaces verts dans le quartier

Urbanisme et habitat

  • Un habitat de qualité

Attractivité

  • Un quartier attractif
  • Un Comité enraciné dans le quartier

Découvrez le plan d’action du Comité pour 2023-2026

« La patience n’est pas la capacité à attendre, mais la capacité à maintenir une attitude positive pendant que vous attendez. » (Joyce Meyer)

Les choses ne sont pas figées. Chaque lecteur ou lectrice est bien sûr invité(e) à faire part de ses suggestions pour construire le futur de Bomel que nous souhaitons tous.

Un travail pas toujours simple

 

Afin d’améliorer la qualité du vie à Bomel, le CQ observe, écoute, analyse et porte les préoccupations des habitants. Mais ce mode de participation à la vie publique n’est pas aussi simple qu’il peut paraître.

Tout d’abord, il s’agit de dépasser le réflexe de défense d’intérêts individualistes. Le CQ développe au contraire une vision sociale et collective. Loin d’une approche de type « Nimby » (Not In My Back Yard – Surtout pas chez moi), c’est l’intérêt commun qui est son fil conducteur.

Le travail est exigeant aussi parce que les interlocuteurs doivent être correctement identifiés. Ils ne sont pas nécessairement ceux auxquels on pense directement.

Il est encore exigeant parce que les objectifs doivent être définis avec précision pour pouvoir envisager d’y apporter des solutions concrètes. Transposer les demandes ou les plaintes des habitants n’est pas un exercice facile, l’unanimité n’étant pas toujours présente.

Enfin, ce mode d’action est exigeant car il implique de tenir dans la durée. Imagine-t-on qu’il faille plus de deux ans pour poser un signal routier par ailleurs décidé ? Ou près de cinq années pour réparer un garde-corps démoli par un accident de la route ? Et on en passe. Par rapport à celui des activités privées ou professionnelles, le temps des institutions publiques paraît souvent d’une lenteur géologique.

Et puis, il y a hélas les comportements de chacun et de chacune. Ils ne sont pas toujours absents de distraction, de négligence voire d’incivilité. Et là on touche à la question particulièrement sensible de l’éducation.

Quelques documents de référence :